Issu d’un milieu modeste, Pierre-Elie a longtemps vécu avec l’idée que la réussite passait par la consommation et les signes extérieurs de richesse.
Pourtant, après quelques années de dépenses excessives et de choix financiers hasardeux, il s’est retrouvé dans une situation délicate : endetté, sans épargne et dépendant de l’aide de ses proches.
C’est à travers une prise de conscience brutale qu’il a décidé de revoir totalement sa manière de gérer son argent. De l’ingénieur insouciant à l’investisseur minimaliste, Pierre-Elie a tracé son propre chemin vers l’indépendance financière, en réduisant ses dépenses inutiles et en investissant intelligemment.
Dans cet article, il partage son parcours, ses erreurs et ses réussites, afin d’inspirer ceux qui souhaitent prendre leur avenir financier en main.
Un témoignage sincère et inspirant pour tous ceux qui aspirent à plus de liberté et de sérénité financière.
« Le minimalisme m’a permis de devenir indépendant de manière très rapide ! » Pierre-Elie
1) L’histoire de Pierre-Elie
J’ai grandi dans une famille modeste. Ma maman nous a élevés seule, moi et mes 2 frères.
J’ai fait des études assez longues, j’avais une voiture qui tombait toujours en panne et un appartement que je trouvais trop petit.
Le jour où j’ai eu mon premier salaire, j’ai un peu craqué et j’ai beaucoup dépensé. J’ai acheté une voiture quasi-neuve, j’ai déménagé dans un appartement avec un loyer très élevé et je consommais des produits de luxe presque à chaque repas. 🚗🍾
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2) Sa prise de conscience
Qu’est-ce qui t’a poussé à arrêter ce train de vie pour te tourner vers la liberté financière ?
J’ai arrêté d’être ingénieur au bout de 2 ans parce que le métier ne m’intéressait pas. Je me suis mis à gagner moins d’argent, mais à en dépenser toujours autant.
J’ai également créé un commerce de vin 🍷 et j’avais souscrit un crédit pour ce commerce que je devais rembourser. Malheureusement, il ne fonctionnait pas autant que ce que je voulais. Je me suis donc retrouvé dans le rouge et je n’avais plus d’argent de côté. ⛔️
A cette même époque (en avril 2016), je suis parti en vacances à l’étranger avec des copains et j’ai raté la correspondance. ✈ J’ai dû racheter un billet d’avion mais son prix était quasiment le budget que j’avais pour la semaine ! Je n’avais plus d’argent pour terminer le séjour donc j’ai appelé ma maman pour qu’elle me dépanne. 📞
J’avais 30 ans à ce moment-là et je me suis dit que ce n’est pas possible à 30 ans de devoir demander de l’argent à sa mère. Il faut que je change quelque chose !
Quand je suis rentré, j’ai regardé mes dépenses en face et j’ai pris conscience que ce n’était pas possible de dépenser autant d’argent. 💸
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J’ai alors pris un 2ème boulot pour finir de rembourser mes dettes. Au total, j’avais à peu près 1500 € de revenu par mois mais j’avais toujours mon crédit pour la voiture (350 €), mon crédit pour le magasin (450 €) et mon loyer (600 €). Finalement, je dépensais de l’argent que je n’avais pas pour manger.
Puis, j’ai décidé de changer d’appartement car mon loyer était trop cher. C’est là où j’ai eu un état d’esprit un peu différent de ce qui peut se faire habituellement. Au lieu de prendre un appartement en location moins cher, je me suis dit que j’allais acheter un appartement pas cher. La mensualité du crédit me coûtera moins cher que mon loyer actuel et en plus, il sera à moi dans quelques années.
Je suis donc allé voir la banque mais, avec mes charges et mon faible salaire, ça n’a pas fonctionné tout de suite. Pour rassurer les banquiers, j’ai dû monter une SCI avec ma mère. Je payais les mensualités tout seul mais elle avait 10% des parts.
Finalement, je suis passé d’un loyer de 600 € à une mensualité de 450 €. Par contre, je n’y connaissais rien à cette époque. Je n’avais pas compris que j’aurais aussi une taxe foncière à payer et des charges de copropriété. Au total, cela me coûtait quand même dans les 600 € par mois mais la différence c’est que c’était un bien qui m’appartenait.
3) Son chemin vers la liberté financière
Combien de temps s’est écoulé avant que tu n’achètes ton 2ème appartement ? D’ailleurs, pourquoi as-tu choisi d’investir dans l’immobilier parce que l’on entend souvent que le marché régresse, c’est compliqué de trouver un bien rentable et il faut beaucoup d’argent pour se lancer ?
Les discours étaient un peu différents en 2016 : les taux de crédit étaient extrêmement bas et les biens immobiliers n’étaient pas très chers. Il y avait même une certaine euphorie autour de l’immobilier. 🏠
A vrai dire, j’ai acheté mon premier appartement pour y vivre. Je n’avais pas du tout prévu d’investir. Mais, j’ai trouvé que c’était beaucoup plus facile d’acheter un bien immobilier que ce que je pensais.
Puis, j’ai eu le déclic du locatif quand je suis parti en vacances d’été dans les Alpes. J’ai alors pris conscience qu’un appartement à la montagne pouvait se louer presque toute l’année car il y a aussi des activités l’été.
J’ai donc acheté un appartement à 9h de route de chez moi. Et, agréable surprise, je le loue beaucoup plus cher que ce que l’agence m’avait annoncé. Je fais 3 fois plus de chiffres d’affaires que ce qui était prévu.
Ensuite, j’ai décidé de mettre en location l’appartement dans lequel je vivais et cela a encore une fois bien marché, alors que l’endroit n’était pas très touristique.
Du coup, dès l’année d’après, j’ai acheté un lot de 2 maisons. Puis, en 2021, j’ai acheté un immeuble entier de 4 appartements. C’est à ce moment-là que j’ai atteint la liberté financière. J’avais 8 biens au total mais entre-temps, je m’étais installé dans une des 2 maisons que j’avais achetées.
Es-tu toujours professeur de maths aujourd’hui ?
Actuellement, l’immobilier me permettrait de vivre puisque j’ai un mode de vie frugale et j’ai beaucoup investi (j’ai acheté 8 biens en 5 ans). Mais, pour faire grossir la boule de neige, j’utilise l’intégralité de ce que me rapporte l’immobilier pour investir en bourse. 📈 Je fais travailler les fruits de mes premiers investissements.
Par conséquent, je continue à donner des cours pour vivre au quotidien. J’ai besoin de 1500 € par mois et dès que j’atteins ce montant, je ne prends plus de nouveaux élèves comme ça, je ne travaille pas trop.
4) Le frugalisme en famille
1500 € par mois ne me paraît pas beaucoup… Quelle est ta situation familiale ? As-tu des enfants ?
Effectivement, ce n’est pas beaucoup mais je n’habite pas en Ile-de-France ! J’habite dans une ville où la vie est moins chère et je suis devenu minimaliste. Je dépense 1500 € par mois et ma compagne aussi. Au final, on vit très bien et j’ai même réaugmenté mon niveau de vie.
J’ai un enfant de 4 ans mais je ne pense pas que les enfants coutent cher. Les 3 premières années, il y a des aides et, ensuite, il y a l’école publique qui est gratuite.
Ce qui coûte cher, ce sont surtout les activités parce qu’il veut faire plein de choses et que l’on ne veut pas trop le freiner.
En revanche, on évite de lui acheter des bêtises. J’essaie de lui inculquer que, les choses qui ne servent à rien, on ne les achète pas tout simplement.
Ce mode de vie est devenu un réflexe pour moi. Au début, je devais me poser la question avant d’acheter quelque chose : cet objet va-t-il m’apporter plus de bonheur ou de valeur ? Et si la réponse était non, je ne l’achetais pas. Maintenant, c’est devenu automatique.
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Globalement, je n’achète rien. J’ai simplement un budget loisir pour faire du sport, des voyages et des restos.
Mon fils et ma chérie me voient vivre comme ça et toute ma famille a adopté ce mode de vie sans s’en rendre compte.
Finalement, le plus compliqué, ce sont les proches qui veulent toujours offrir des trucs à l’enfant.
Par exemple, à son anniversaire, il a 20 cadeaux. Il n’a pas besoin de tout ça.
A Noël dernier, il a eu des cadeaux chez ma mère, ma belle-mère, mes grands-parents, les grands-parents de ma compagne, les tontons, etc. A chaque fois qu’on allait quelque part, il avait des cadeaux. A tel point que, un jour, nous sommes allés chez des amis et il était étonné qu’il n’y ait pas de cadeaux pour lui.
On a tellement pris l’habitude, dans notre société, d’acheter tout le temps que l’on n’y prend même plus de plaisir. On le fait par habitude ou pour faire comme le voisin.
La grand-mère de ma compagne m’a fait halluciner. Elle a des objets qui sont encore de leur emballage d’origine ! A quoi ça sert ? Je n’arrive pas à comprendre.
5) Le sentiment de privation
On associe souvent le minimalisme et le frugalisme à la privation et à la frustration. Qu’en penses-tu, toi qui es passé par tous les états ?
Je ne suis pas du tout d’accord, mais chacun a sa vision. Peut-être que certains se sentiraient privés de vivre avec mon mode de vie mais, moi qui ai connu les deux (les dépenses superflues et le frugalisme), je n’ai pas l’impression que ma vie soit plus vide ou moins remplie aujourd’hui. Elle est juste remplie d’autres choses et de bonheur beaucoup plus simple.
J’adore les restos, le sport, les balades et lire des livres. Toutes les semaines, je vais à la bibliothèque municipale avec mon fils. On passe 2 heures ensemble à lire des livres et ensuite, on en ramène 5 à la maison. C’est gratuit et il adore ça !
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De toute façon, je pense sincèrement qu’il est très compliqué de faire comprendre à quelqu’un qui n’a pas eu des problèmes financiers que, dépenser moins, ne le rendra pas moins heureux. On a cette croyance complètement fausse que, diminuer nos dépenses, revient à diminuer notre mode de vie, notre confort et notre bonheur.
Or, pour l’avoir vécu, ça n’est clairement pas le cas !
6) Ses références pour construire sa liberté financière
As-tu des références de livres ou de blog pour apprendre à investir et construire sa liberté financière ?
J’ai mon propre blog senrichiravecpierre-elie.com. Il est intéressant pour ceux qui veulent commencer à investir parce que je parle aussi d’épargne. En effet, on ne peut pas aller voir la banque pour acheter un premier bien si l’on n’a pas du tout d’argent. Il est préférable d’avoir un peu d’épargne.
Un autre blogueur m’a vraiment fait changer mon état d’esprit sur la façon de voir l’argent et sur l’investissement boursier, c’est Luc Brialy. Ses articles sont clairs et concis mais surtout, il est dans le même état d’esprit que moi.
En effet, les blogs ou les chaînes YouTube qui traitent de l’investissement véhiculent souvent le message qu’il faut grossir toujours plus, gagner toujours plus d’argent, pour pouvoir dépenser toujours plus. Or, je pense que, si on veut aller vite et être efficace, il faut d’abord réduire ses dépenses, arrêter d’acheter des trucs qui ne servent à rien et se servir de l’argent que l’on n’utilise pas pour investir.
J’ai également lu quelques livres : « Père riche, Père pauvre » de Robert Kiyosaki est très connu, mais c’est « L’homme le plus riche de Babylone » de George Clason qui m’a le plus impressionné. C’est un livre très ancien qui raconte l’enrichissement. Aujourd’hui, les règles sont exactement les mêmes qu’il y a plusieurs siècles, mais elles ne sont toujours pas appliquées (ou par une minorité).
Ce livre est très clair et il aborde des notions importantes : se payer en premier, épargner dès qu’on reçoit son salaire, épargner minimum 10 % de son salaire et investir cet argent.
7) Les principaux freins de l’investissement
Tu disais que ces notions existent depuis longtemps, mais qu’il y a très peu de gens qui les appliquent. Pourquoi ?
Dans « épargner », il y a ce côté « privation ». Beaucoup de gens ont l’impression que s’ils épargnent 10 % de leur salaire, ils vont moins bien vivre donc ils ne font même pas cette toute première étape. Or, c’est vraiment la base. On ne peut rien faire si on n’a pas épargné.
Le problème c’est que la plupart des achats sont faits uniquement par habitude et changer ses habitudes demande un effort. J’ai remarqué que les gens sont quand même fainéants dès qu’il s’agit de faire des efforts.
Pourtant, selon moi, cela demande un plus gros effort de se lever tôt tous les matins ⏰ pour aller faire un travail qui ne plaît pas forcément. Mais ils le font !
Par contre, l’effort de changer un petit peu leur état d’esprit ou leurs habitudes pour créer leur liberté financière, ils ne le font pas. J’ai du mal à comprendre.
Dans notre société, notre métier est lié à notre identité. De plus, on pense que faire l’effort d’aller travailler nous apporte une sécurité. A l’inverse, l’investissement fait peur car il est considéré comme insécure.
Ce sont des croyances limitantes à lever parce que je ne suis pas certain que dépendre d’un seul salaire soit si sécurisant. De plus, travailler toute la journée pour gagner un salaire que l’on va, de toute façon, redépenser n’est pas enrichissant.
D’ailleurs, j’ai écrit un article sur « pourquoi le travail vous appauvrit ». J’explique que l’investissement est plus sécuritaire que le travail parce qu’il permet d’augmenter et de diversifier nos sources de revenus, sans pour autant nous empêcher d’avoir un travail à côté. Par conséquent, s’il y en a une qui venait à s’éteindre, il resterait les autres.
Même si on a la chance d’avoir le chômage en France, dépendre d’un seul salaire est risqué. Il faut s’en rendre compte.
8) Son meilleur conseil pour atteindre la liberté financière
Quel conseil aurais-tu aimé recevoir il y a 20 ans ou aimerais-tu donner aujourd’hui ?
Il y a 20 ans, j’avais 17 ans et j’ai dit à ma mère « un jour je serai millionnaire. » Elle a rigolé et m’a dit « mais non, ce n’est pas pour nous mais ce n’est pas grave, on vit bien quand même. »
Aujourd’hui, je ne suis toujours pas millionnaire, mais je suis en phase de le devenir, c’est certain ! 💰
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J’ai grandi dans une famille où l’on ne parlait pas beaucoup d’argent. On en gagnait par le travail et on n’investissait pas. J’aurais aimé qu’on me dise à l’époque « oui mon fils tu peux le faire, c’est possible » et aussi que l’immobilier est le meilleur vecteur d’enrichissement. J’ai découvert cela par hasard à 30 ans mais j’aurais aimé le savoir avant pour pouvoir acheter de manière massive de l’immobilier, dès que j’ai été ingénieur à 24 ans.
En revanche, l’immobilier est loin d’être passif. Même si j’ai délégué et automatisé une grande partie, il y a toujours des trucs de dernières minutes à gérer.
Le gros avantage, c’est que l’on peut acheter l’intégralité de ses biens à crédit et utiliser de l’argent qui ne nous appartient pas. Au total, j’ai emprunté environ 600 000 € que je fais travailler alors que je ne les ai pas. 🏦
C’est la différence entre les bonnes dettes et les mauvaises dettes.
D’ailleurs, ce qui est drôle, c’est que j’ai transformé ma voiture en appartement. J’avais une voiture qui perdait de la valeur et ne faisait pas plus que ma voiture actuelle achetée sans crédit, et je l’ai transformée en un appart qui me rapporte de l’argent tous les mois.
Clairement, il vaut mieux faire une dette pour un appartement que pour une voiture ou des vacances. Certains s’endettent même pour des cadeaux de Noël ! J’ai été choqué quand j’ai appris ça. 😱
Ton meilleur conseil pour marcher vers sa liberté financière, c’est investir le plus tôt possible, dès son premier salaire ?
Exactement ! Selon moi, tout le monde devrait avoir de l’immobilier et le faire le plus tôt possible.
Beaucoup se réveillent à 40 ans lorsqu’ils reçoivent leur premier décompte de retraite et qu’ils se rendent compte qu’ils n’auront pas grand-chose. Ce n’est jamais trop tard mais il vaut mieux le faire à 20 ou 30 ans.
Conclusion
L’histoire de Pierre-Elie montre qu’un changement d’état d’esprit peut transformer une situation financière compliquée en une véritable réussite.
En passant d’un mode de vie basé sur la consommation à une gestion réfléchie de l’argent, il a su bâtir un patrimoine solide et gagné en sérénité.
Son parcours prouve qu’il n’est jamais trop tard pour reprendre le contrôle de ses finances et que l’investissement immobilier peut être un levier puissant pour atteindre la liberté financière.
Plus qu’une question d’argent, c’est avant tout un choix de vie, axé sur l’indépendance et la tranquillité d’esprit.
Si cet article vous a incité à revoir votre rapport à la consommation et votre gestion financière, n’hésitez pas à le partager avec ceux qui souhaitent construire leur liberté ! 🙏
Certains liens sont des liens d’affiliation ce qui veut dire qu’en achetant ces livres par ce biais, vous ne payerez pas plus cher mais je percevrais une petite commission sur le prix de vente. C’est une manière de soutenir mon blog et je considérerais cela comme une marque de remerciement et un encouragement à continuer. Alors, merci d’avance ! 🙏
Un parcours inspirant qui prouve que la liberté financière est avant tout une question d’état d’esprit et de stratégie ! L’approche minimaliste et l’investissement raisonné sont des leviers puissants. Merci pour ce partage !
Très bien résumé : c’est un état d’esprit. 🙏 Merci pour ton commentaire
Encore une belle interview riche d’enseignements !
Je remarque que Pierre-Elie et moi avons finalement eu un parcours relativement similaire, c’est drôle 🙂
Entre l’enfance frugale, l’overdose de consommation, le retour aux sources et le fait de se dire « si seulement j’avais su cela plus tôt ! »…
Un voleur, quand il vient cambrioler une maison, il va emporter la TV. Le livre de Robert KIYOSAKI sur la table basse va rester, et pourtant, il permet de l’enrichir bien plus ! Je l’ai adoré. Je vais aussi aller consulter l’autre ouvrage que tu as mentionné !
Merci pour ce partage 🙂
Tu as raison, investir sur soi et ses connaissances est la meilleure façon de s’enrichir. 😉
J’adore ta vision sur le voleur, c’est exactement ça ! Bon chez moi il repart sans rien voler car il n’y a même pas de télé 😉
J’adore ta vision sur le voleur, c’est exactement ça ! Bon chez moi il repart sans rien voler car il n’y a même pas de télé 😉
Merci pour l’invitation, j’ai passé un bon moment !
Plaisir partagé ! 🤩
Interview super intéressante, merci ! C’est fascinant de voir comment on peut apprendre à réfléchir autrement pour vivre aussi bien voire mieux !
C’est fascinant comment notre cerveau nous joue des tours… J’ai hâte d’avoir ton avis d’expert sur la question 😉